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En direct de SANTEXPO 2021 : L’Agence du numérique en santé (ANS) se rapproche des territoires depuis l’arrivée des GRADeS et des ARS dans sa gouvernance
Les 18 ARS et les 17 GRADeS ont intégré le Conseil d’administration de l’ANS depuis février 2021, au sein de deux collèges dédiés : un Collège des ARS, « pour échanger sur les grandes orientations prises dans le cadre de la feuille de route du numérique en santé et faire valoir les besoins des territoires » et un Collège des GRADeS « pour apporter la vision opérationnelle des territoires », peut-on lire dans le dossier de presse du Village de la E-Santé, stand qui regroupe pour la première fois sur le salon ces différentes structures.
Ce rapprochement résulte d’une volonté d’être « plus proche du territoire » et « d’avoir une fenêtre sur ce qui se fait concrètement », a expliqué Annie Prévot. D’éviter que l’ANS soit vue comme une structure nationale « perchée », loin des préoccupations du terrain.
La représentation des régions au sein de la gouvernance de l’ANS est d’autant plus importantes que toutes n’ont pas le même niveau d’adoption du numérique en santé. « Les réalités, les synergies sont différentes en fonction des territoires », a expliqué Jean-Christophe Zerbini, directeur général du GIP E-santé Occitanie et président du collège des GRADeS. L’Occitanie n’est pas l’Ile-de-France, a-t-il lancé, notant l’importance d’un échange qui va « dans les deux sens », avec une ANS donnant les grandes orientations et des GRADeS qui du fait de leur rôle « d’accompagnateur des professionnels sur le dernier kilomètre » sont plus à même de « remonter la réalité de l’acceptation des outils ».
Cinq personnes sont, au sein de l’ANS, chargées de faire ce lien entre ces deux échelons. Elles ont trois objectifs, a détaillé Claire Lenain, directrice territoires et expérience client de l’ANS : « construire une feuille de route commune entre le national et la variété des territoires » ; « favoriser la mutualisation » de bonnes pratiques, mais aussi de moyens et d’outils ; « faire immerger l’innovation ».
Différents groupes de travail territoriaux ont été mis en place, dont l’un est axé sur le sujet de la cybersécurité, et deux sur les enjeux liés au déploiement du Ségur numérique, notamment dans le médico-social.
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